Critique de Call of duty classic

Premier volet de Call of duty

Call of duty est sorti en 2003 sous le développement d’Infinity Studios et d’Activision. Le moteur était le prototype Id Tech 3. En septembre 2004, l’add-on United Offensive est sorti, ajoutant plusieurs missions, de nouvelles armes et des graphismes améliorés.

Gameplay :

Le gameplay consiste en des missions dans lesquelles le joueur doit accomplir certaines tâches afin de la terminer. Les tâches peuvent être différentes, telles que : prendre le contrôle d’un bâtiment, trouver les documents et les cartes de l’ennemi, détruire l’artillerie. Chaque mission est précédée d’un briefing qui décrit brièvement la tâche et fait avancer l’intrigue, mais si la mission est la suite directe de la précédente, il n’y a pas de briefing. De plus, avant chaque mission, l’écran de chargement présente un document, qui est le journal intime du héros, un document militaire ou un ordre des officiers. Avant que l’histoire ne commence, le joueur sera invité à choisir la difficulté du jeu. Il existe quatre niveaux de difficulté : débutant, privé, expert et vétéran. En difficulté vétéran, d’ailleurs, il n’y a pas de trousse de secours.

Plot :

L’intrigue est basée sur la Seconde Guerre mondiale, à savoir la confrontation des armées de l’URSS et des Alliés avec les armées du 3e Reich.

Le jeu est divisé en trois compagnies : US, UK, USSR.

USA :

La trame du développement de la compagnie américaine est le débarquement en Normandie, à l’exception de la première mission, qui est une mission d’entraînement. Au total, 9 missions attendent le joueur, dont 6 se déroulent en Normandie, 2 en Autriche, la mission principale étant la libération d’officiers britanniques et la dernière à la frontière franco-belge avec le nettoyage de bunkers.

Revue de Call of duty, le classique culte des jeux de tir

ROYAUME-UNI :

Un élément clé de la campagne anglaise est l’opération sur le barrage d’Eder. Sept missions attendent le joueur : 2 d’entre elles se déroulent en France, au cours desquelles le joueur doit défendre le pont ; 3 en Allemagne au barrage, qu’il faut faire sauter ; 1 sur un porte-avions allemand, qui est la seule mission furtive du jeu ; et la chaîne se termine encore avec l’Allemagne qui détruit le dernier espoir du 3ème Reich, représenté par des missiles à tête chercheuse.

URSS :

Le dernier lien est le scénario de l’Armée rouge. L’accent a été mis sur la bataille de Stalingrad et la libération de la Pologne. C’est ici qu’il y a le plus de missions, 10, dont 5 sur les grandes batailles de Stalingrad, 4 sur la libération de la Pologne de l’occupation, et la dernière mission est de capturer le Reichstag et de charger la légendaire bannière de la victoire sur le toit.

Protagonistes :

  1. Joey Martin : Soldat, assistant principal du capitaine Foley et du sergent Moody.
  2. Jack Evans : Sergent, transféré plus tard à la division du sabotage, avec Price et Waters.
  3. Lyosha Voronin : Un soldat ordinaire de l’Armée rouge, qui est passé de simple soldat à lieutenant.

Conclusion

Le jeu a eu beaucoup de succès et 2 ans plus tard, une suite est sortie. Le score sur Metacritic est de 9,1, ce qui est excellent.